Congo-Océan, un chemin de fer et de sang

Entre 1921 et 1934, près de 20000 Africains ont perdu la vie lors de la construction du Congo-Océan, qui relie Brazzaville à l'Atlantique. Ce film retrace l'histoire méconnue d'un chantier colossal, symbole de domination et de violence coloniales, qui fut dénoncé en son temps par Andre Gide et Albert Londres, qui y voyaient le rétablissement du travail forcé. Basé sur la dramaturgie de la construction de la voie ferrée et l'effroi qu'elle provoque en métropole, ce film est composé principalement d'archives inédites et de tournages