Au programme : Bing ; Les triplés ; Simon Super lapin ; Peppa Pig ; Bluey ; Vida la veto ; Sam et Julia
En compagnie de ses amis Sula, Pando, Coco et les autres, Bing découvre la vie en faisant parfois des bêtises, mais c'est tout à fait normal à son âge... Les aventures de Bing donnent aux jeunes téléspectateurs des petites recettes pour apprendre à gérer les premières grandes émotions : peur, tristesse, jalousie... Il est si triste par exemple de casser un jouet. Flop, va l'aider à surmonter cette peine en lui proposant de ranger cet objet dans une boîte à au revoir, avec l'espoir un jour de le réparer. Une façon d'y renoncer tout en douceur.
Au square, le marchand de barbe à papa s absente quelques minutes en confiant son stand aux Triplés. Les petits gourmands ne peuvent s empêcher de toucher à tous les boutons pour fabriquer une friandise mais soudain la machine s emballe et devient hors de contrôle !
Au parc, Simon et Lou observent une colonie de fourmis. Ils sont sans cesse dérangés par Renaud, un «grand», qui n'arrête pas d'envoyer son ballon vers les fourmis. Il manque de les écraser et en plus, il demande aux deux copains d'aller chercher le ballon à sa place !
Peppa, Georges et Suzy Shepp sont en train de s'amuser quand tout à coup Georges s'arrête. Il a besoin d'aller au pot mais ne sait pas comment s'en servir. Peppa tente de l'expliquer à son petit frère. Maman, Papa et Peppa l'encouragent à prendre confiance en lui pour réclamer le pot en cas de besoin en prononçant le mot magique : «pot-pot». Papa leur apprend une chanson que tout le monde reprend en choeur
Bluey et Bingo fabriquent des pizzas et les livrent aux adultes, mais la roue de leur voiture à pédales n'arrête pas de tomber.
Masha est une petite fille qui raconte à son ourson des contes traditionnels russes. La petite Masha n'est jamais à court d'idées quand il s'agit d'occuper un après-midi en pleine nature ou devant la cheminée : elle se place face à son inséparable ours en peluche Michka, et se met à lui raconter de nombreuses histoires passionnantes
Parce que la lecture est et restera l'un des meilleurs moyens de s'évader, François Busnel vous invite à pénétrer dans La P'tite Librairie. Sur les étagères, des romans, des essais, de grands classiques ou des bandes dessinées. En bref, des livres à dévorer sans modération pour faire voyager l'esprit depuis son canapé. François Busnel propose chaque jour de découvrir ou redécouvrir une oeuvre française ou étrangère : roman, essai, grand classique ou encore bande dessinée. L'occasion de se remettre à la page !
Au sommaire : «Rencontre : tombé sous le charme des fleurs de coquelicot» - «Découverte : Gênes se veut être la capitale mondiale du Pesto» «Visite de jardin : lové au fond d'une vallée du pays d'Auge» - «Pas de panique : Retour chez Laurence et Caroline»
Grâce à sa proximité avec la mer, son climat méditerranéen, son taux d'ensoleillement parmi les plus élevés en France, ses jolies ruelles médiévales, ses terrasses ombragées ou encore ses placettes piétonnes, Montpellier est incontestablement une ville où il fait bon vivre. Dynamique et authentique, sportive et culturelle, elle a un véritable pouvoir d'attraction. Au sommaire : «1001 manières de découvrir Montpellier» ; «L'arrière-pays, un trésor géologique» ; «Les étangs palavasiens, une des richesses de l'Hérault» ; «La Grande-Motte» ; «La gastronomie à Montpellier, une histoire de territoire» ; «L'héritage des médecins et des apothicaires»
Le magazine consacré aux médias et au traitement de l'information par les médias revient avec une nouvelle formule. Mélanie Taravant recevra en plateau celles et ceux qui animent le débat médiatique. A ses côtés, officieront de nouveaux chroniques (en alternance) : Thierry Moreau, Lise Pressac, Benoît Daragon, Cyril Lacarrière et François Saltiel. Un coup de projecteur sur le storytelling de la semaine sera analysé en duo par des spécialistes et des décrypteurs de la communication politique
Les forêts primaires sont les écosystèmes les plus fascinants de notre planète. Ces parcelles regorgent de trésors de biodiversité. Celle des Îles de Bornéo et Sumatra est la dernière à abriter des orangs-outans, une espèce en danger critique d'extinctions. Mais ces grands singes ne sont pas les seuls à vivre dans cette végétation dense, on y rencontre également des chauves-souris, des crocodiles, des perroquets
Raconter des histoires, être au plus près de celles et ceux qui font l'actualité, telle est l'ambition d'Aurélie Casse pour cette nouvelle formule de «C l'hebdo». Plus d'invités, plus de témoignages, plus de rubriques viendront articuler ce nouveau rendez-vous en deux parties : une première (18h55-20h) qui reviendra sur les événements qui ont marqué la semaine écoulée et une seconde (20h-21h), plus «divertissante», qui, à partir d'un thème, s'attachera à l'actualité sous toutes ses formes (culture, sport, tendances...). Aurélie Casse sera entourée de Natacha Polony, Victor Dekyvère, Matthieu Belliard, Eva Roque et Louis Amar
Jeanne et Vincent forment un couple de retraités paisibles, pleins de projets, dont l'ouverture aux autres a constitué le fil conducteur de leur famille exemplaire. Leurs trois enfants sont à leur image, tendres et attentifs, et quand les parents les appellent pour leur demander de venir en urgence, Pierre, Jules et Louise n'hésitent pas une seconde à avaler en voiture des centaines de kilomètres dans la journée. Lorsqu'ils se retrouvent dans la grande maison familiale à la campagne, chacun se torture pour imaginer la pire des nouvelles. Quelle décision dramatique prendrait le couple de parents qui justifierait la venue urgente des trois enfants ?
Après deux documentaires en France métropolitaine, la collection «La vie sauvage des monuments» prend le large, direction les Petites Antilles. Ce nouvel opus nous emmène de l'Îlet Ramiers et l'Habitation Céron, en Martinique, aux îlets de Petite-Terre, en Guadeloupe, et au-delà de nos frontières, dans le village de Massacre sur l'île de la Dominique. Ces quatre territoires insulaires ne sont pas seulement de sublimes destinations de voyage mais aussi des lieux de mémoire, portant en eux une part fondamentale de l'histoire de France et des Antilles. Au coeur des monuments qu'ils abritent, des espèces sauvages, parfois menacées, cherchent à gagner de la place face à la présence humaine
Le monde viticole français entretient une légende tenace. Durant l'Occupation, nos grands terroirs auraient été pillés par l'Allemagne nazie. Or, de récents travaux d'historiens spécialisés, associés aux conclusions de l'enquête du journaliste Antoine Dreyfus, coauteur de ce film, prouvent que la réalité est tout autre. Affairisme débridé, collaboration active de nombreux grands négociants, l'occupation allemande a permis à beaucoup d'amasser de très confortables revenus, alors que la population française vivait mal les rationnements et les privations de tous ordres. Ce documentaire révèle des épisodes étonnants
Émilie Tran Nguyen présentera en direct la deuxième saison du magazine En société afin de raconter la France et le monde qui nous entoure et ceux qui marquent notre époque, interrogent, inspirent ou même dérangent notre société. Au sommaire : des reportages en immersion, des témoignages et du décryptage afin d'être au plus près de la parole et des faits d'actualité. Des reportages et des témoignages : réalisés par la rédaction d'En société, avec celles et ceux qui témoignent, qui s'engagent afin de donner à voir tous les visages de la société. Des immersions sur le terrain, des grands récits qui font l'actualité, qui racontent notre époque. Du décryptage avec des invités en plateau afin d'éclairer le sujet qui fait l'actualité. Également, Le Mix d'Alex Guetta avec les images fortes qui ont marqué la semaine écoulée
Thomas Snégaroff propose, pendant une heure, d'échanger sur une question marquante d'un fait d'actualité avec des intellectuels, des acteurs de terrain, des témoins, des citoyens... Un forum de discussion où tous les points de vue et toutes les expériences peuvent s'exprimer afin de trouver des réponses et des pistes pour agir. Cette saison, «C politique» propose d'interagir avec le public, qui pourra poser des questions aux invités
Pour comprendre la guerre d'Algérie, il faut remonter l'histoire, avant le 1er novembre 1954, son déclenchement officiel et son terme le 19 mars 1962. Il faut remonter à la conquête de 1830, à la première guerre d'Algérie avec l'émir Abdelkader, et découvrir «l'Algérie française»... Durant cent trente ans, la France va tenter de faire de l'Algérie une «région française» en assimilant des territoires, en développant le pays ou en accueillant une population d'exilés venus de certaines régions françaises mais aussi de pays européens comme l'Italie ou l'Espagne (qui deviendront les pieds-noirs), sans jamais assimiler les populations «indigènes»
Dans l'après-guerre, rien n'a vraiment changé en Algérie malgré Sétif et sa terrible répression, même si certains musulmans, comme Ferhat Abbas, croient toujours en la France et ses promesses d'égalité et de liberté. En 1947, un statut de l'Algérie plutôt «libéral» est voté par l'Assemblée algérienne. Il soulève bien des espoirs, mais la statut est dangereux pour le parti des «grands colons» : les autorités françaises vont organiser une élection truquée : le bourrage des urnes est massif et systématique dans toute l'Algérie. Six ans avant le début de cette guerre, le modéré Ferhat Abbas tire alors la sonnette d'alarme. Lui qui croyait encore en la France et ses promesses se sent trahi
Début 1956, la guerre dure depuis deux ans même si tout le monde feint de l'ignorer. Avec les pouvoirs spéciaux votés par l'Assemblée nationale, Guy Mollet envoie le contingent en Algérie. Dans les années qui suivent, un million et demi de jeunes Français, des appelés venus de métropole, vont débarquer pour un service militaire porté à trente mois. Une génération entière va découvrir la guerre. Marquée par de terribles attentats, l'année 1956 voit s'affronter différents fronts. Les ultras radicaux de l'Algérie française, soutenus par certains militaires, cherchent à faire pression sur la population et le gouvernement
1957, trois ans déjà, la guerre a commencé. Plus de 200000 soldats, jeunes appelés du contingent, viennent de débarquer pour prêter main forte à l'armée qui se bat dans les djebels, contre le Front de libération national algérien, le FLN. Bientôt, ils seront un million cinq cent mille, venus des quatre coins de la France, à participer à «cette guerre sans nom» qui est devenue une «sale guerre» où l'armée, les paras, la Légion traquent les maquisards du FLN. Une «sale guerre» dans les campagnes où le FLN attaque et s'en prend aux Européens et aux musulmans pro-français. 1957 est une année pivot où, dans les deux camps, les durs vont l'emporter