Jean-Jacques Goldman, de l'intérieur

Jean-Jacques Goldman, de l'intérieur

Comment faire un film différent sur Jean-Jacques Goldman, redevenu un simple citoyen anonyme à Londres et toujours pas disposé à parler de lui ? Didier Varrod, admirateur revendiqué de la première heure, a toujours eu ce désir de raconter l'artiste autrement qu'en capitaine d'industrie, qu'en patron de la chanson française ou qu'en pygmalion imparable. Au début des années 1980, défendre son répertoire n'était pas une évidence. Pour ses détracteurs, il n'était qu'un faiseur de tubes, tellement loin de la chanson d'auteur classique. Pour Didier Varrod, journaliste encore débutant, comme pour son public, son répertoire était déjà celui d'un grand

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